Yalla Bakhna

12 Septembre 2023

J’ai eu une idée révolutionnaire cette nuit : commencer à se poser les bonnes questions au lieu de dire « Yalla Bakhna ».

Ça éviterait une société où des pères de famille gagnant 100 000F par mois se permettent d’avoir 5 enfants.

Car au lieu de dire « c’est Dieu qui donne la vie », ils se diraient peut-être que c’est le moment d’enfiler une capote. 

C’est effrayant de dire « Yalla Bakhna » à la place de réfléchir à la cause de ses problèmes – mais ça représente bien l’africain dans son ensemble.

Quand le blanc a un souci, il s’enferme dans sa chambre et n’en sort pas tant qu’il n’y a pas trouvé une solution.

Le noir, lui, fait une petite prière puis retourne faire la sieste.

Voilà la raison de son gargantuesque retard – rien d’autre.

Les chinois étaient plus pauvre que la majorité des africains en 1960 – la preuve – ils se sont juste sortis les doigts du cul et ont ainsi démontrés que chacun est maître de son destin.

« Yalla Bakhna » est donc bien plus qu’une simple expression.

Elle implique que Dieu est au contrôle de tout, y compris tes mauvaise décisions financières, par exemple.

Or, savoir et accepter qu’on est mauvais est la première étape pour s’améliorer, peu importe le domaine.

Il est temps de remettre le savoir-faire et la connaissance au centre de nos vies, c’est de cette façon qu’on sera récompensés.

Amen.